Citations
- On ne naît pas femme, on le devient. Le Deuxième Sexe
- L'homme définit la femme non pas en elle-même mais par rapport à lui; elle n'est pas considérée comme un être autonome. Le Deuxième Sexe
- Il est le Sujet, il est l'Absolu; elle est l'Autre. Le Deuxième Sexe
- La tragédie de la femme réside dans le conflit entre les aspirations fondamentales de chaque sujet — s'affirmer comme une personne souveraine — et les exigences de la situation qui limitent ses possibilités. Le Deuxième Sexe
- Je ne veux pas qu’on m’aime par pitié, je veux qu’on m’aime vraiment. La femme rompue
- Tout ce que je fais me paraît vain, parce que tu ne me regardes plus avec admiration. La femme rompue
- Je ne sais pas comment vivre quand tout ce en quoi je croyais s’effondre. La femme rompue
- Le bonheur n’est pas un don, c’est une construction. La femme rompue
- Je ne me reconnais plus dans le miroir de ton regard. La femme rompue
- On ne naît pas femme : on le devient. La Force des choses
- La liberté, c’est ce que tu fais de ce qu’on a fait de toi. La Force des choses
- On ne peut être heureux si l’on ne se sent pas libre. La Force des choses
- «Vivre, c’est prendre des décisions.» Les Mandarins
- «La liberté, c’est ce que tu fais de ce qu’on a fait de toi.» Les Mandarins
- «Personne ne nous sauvera de nous-mêmes.» Les Mandarins
- «On ne naît pas femme, on le devient.» Les Mandarins
- Vivre, c’est mourir, et mourir, c’est vivre. Tous les hommes sont mortels
- L’éternité n’est pas une vie sans fin, mais l’absence de vie. Tous les hommes sont mortels
- La mort donne un sens à tout ce que nous faisons. Tous les hommes sont mortels
- Celui qui ne peut mourir ne peut pas non plus vivre vraiment. Tous les hommes sont mortels
- L’homme est mortel, et c’est précisément cela qui rend son existence précieuse. Tous les hommes sont mortels
- On ne naît pas femme : on le devient. Une mort très douce
- Sa mort fut douce, mais sa vie ne l’avait pas été. Une mort très douce
- Il n’y a pas de mort naturelle : rien de ce qui arrive à l’homme n’est jamais naturel, puisque sa présence remet en cause le monde. Une mort très douce
- La mort de maman m’a séparée du passé, elle a rompu le fil de la continuité. Une mort très douce
- « Je ne peux pas vivre sans toi, tu es ma vie, mon âme, ma joie, ma douleur » Les inséparables
- « Je ne veux être l’ombre de personne, pas même la tienne » Les inséparables
- « Tu étais pour moi tout ce qui existe au monde » Les inséparables
- « Je ne savais pas qu’on pouvait aimer et souffrir à ce point » Les inséparables
- « Nous étions inséparables, parce que nous n’étions qu’une seule âme » Les inséparables